Résumé :
Hannah Harendt aimait la poésie et admirait plusieurs poètes dont elle fit parfois l'éloge funèbre : Oden, Brecht, etc. Elle voit en leurs poèmes l'élucidation du passé, de ce qui a eu lieu. Pierre Pachet explique, à l'occasion du colloque organisé par la Bpi pour le centenaire de sa naissance, qu'Harendt voit dans les poèmes une certaine forme d'autorité dans un monde ou toutes les autorités traditionnelles ont disparu.Partenariat :
Colloque organisé à l'occasion du centenaire de la naissance d'Hannah Arendt, en partenariat avec le Centre de sociologie des pratiques et représentations politiques, organisateur du colloque "Crises de l'État-nation. Pensées alternatives".