Résumé :
Anne-Marie Roviello s'intéresse donc ici plus particulièrement à la violence occulte du totalitarisme et part de la position d'Hannah Arendt sur le fait que "l'horreur du totalitarisme tient particulièrement en son organisation". Elle étaye le fait que l'aspect terrifiant du régime totalitaire tient en la transformation d'un monde stable en un monde fictif, d'un monde organisé en un chaos, un monde qui se caractérise par l'arbitraire et la cohérence absolue de cet arbitraire.Partenariat :
Colloque organisé à l'occasion du centenaire de la naissance d'Hannah Arendt, en partenariat avec le Centre de sociologie des pratiques et représentations politiques, organisateur du colloque "Crises de l'Etat-nation. Pensées alternatives".