Résumé :
"Transmettre la mémoire du génocide arménien, le premier de ce siècle fertile en massacres, a représenté un impératif pour tous ceux qui ont été en prise avec la destruction de ce peuple. Les questions qu'il nous faut mettre au travail pourraient se formuler ainsi : S'agit-il aujourd'hui de transmettre la seule mémoire du génocide ? Ne doit-on pas plutôt s'attacher à la transmission d'une culture dont le génocide ne représenterait que l'une des pages, l'une des facettes, afin d'historiciser le souvenir de massacre et le laïciser ?" (Jacques Hassoun)Partenariat :
En collaboration avec le Centre de recherches sur la Diaspora arménienne.