Résumé :
Dans notre société du risque zéro, la vieillesse et la mort sont les derniers tabous : à la fois omniprésentes dans le débat public et mises à l’écart du champ social, elles représentent une expérience difficile à penser. L’expression littéraire et graphique, en transfigurant cette expérience de la finalité, ne la rend-t-elle pas plus réelle ?