Résumé :
Si Vélibor Colic a souvent dénoncé l’absurdité ou le tragique de la guerre (« Les bosniaques », « Chronique des oubliés », « Les archanges »), il a également parlé avec humour et nostalgie de l’enfant qu’il a été, élevé par un père communiste et une mère catholique (« Jésus et Tito »), écrit un roman sur le jazz (« Perdido ») ou fait revivre les personnages qui ont fait l’histoire de la ville de Sarajevo (« Sarajevo omnibus »)…Partenariat :
Manifestation organisée en partenariat avec La Maison des écrivains et de la littérature.