Résumé :
L’ampleur et l’étendue des violences de masse au XXe siècle amènent à s’interroger sur leur caractère transnational : génocide des arméniens, violences staliniennes (travail forcé, déportations, exécutions, famine…), génocide des juifs d’Europe… L’écriture historique, en rendant compte de ces tragédies sans les instrumentaliser, contribue à la reconnaissance des victimes et peut jouer le rôle de pacificateur de mémoire.